Second rendez-vous d'une série de trois rencontres avec la documentariste Jacqueline Caux.

À partir d’extraits de son film Bad girls des musiques arabes, du VIIIe siècle à nos jours, d’images et de sons d’archives, elle raconte le rôle et la puissance des femmes musiciennes dans la complexité et la richesse des musiques arabes.

Auteure engagée et réalisatrice de films musicaux, de la techno de Detroit aux cheikhates de l’Atlas marocain, Jacqueline Caux remonte le fil de l’histoire des musiques arabes au travers d’artistes telles que Oum Khalthoum, Warda al Djazaïria ou la reine du raï Cheikha Rimitti. Grande connaisseuse de ces musiques, Jacqueline Caux n’aime rien tant que d’aller à la rencontre des publics.

Les autres rencontres :
La première chanteuse esclave Djamila (VIIIe siècle) et la première chanteuse et poétesse Wallada (XIe siècle)

L’âge d’or des musiques arabes dans les années 1940/1960 avec Oum Kalthoum, Asmahan, Warda al Djazaïria