Double plateau en altitude pour saluer Addis-Abeba (2 500 m) et les musiques d’Éthiopie aujourd’hui. Avec Théo Ceccaldi et les chanteuses du Jano Band pour le projet KUTU, puis Girma Bèyènè, le revenant de la scène éthio-jazz.
Théo Ceccaldi KUTU
KUTU est né de la rencontre à Addis Abeba du musicien Théo Ceccaldi et de deux voix fusionnelles, celle des chanteuses éthiopiennes Hewan G/Wold & Haleluya T/Tsadik. Un voyage au coeur des nuits fiévreuses d’Addis underground 2020, où la jeunesse hyperactive s’empare des musiques ancestrales pour mieux s’en affranchir. À partir de poèmes d’aujourd’hui, de collectage de rythmiques tribales, Théo Ceccaldi imagine un set tellurique où se croisent improvisation, et envolées vocales, soutenu par une rythmique puissante et un line up à la vitalité contagieuse : claviers électro-cosmiques, basses hypnotiques, danses exaltées et voix stellaires...
Un combo éthio-transe incandescent, où la liberté du jazz se mêle à la profondeur brute des sons azmaris.
Voix Hewan G/Wold et Haleluya T/Tsadik
Violon, arrangements, compositions Théo Ceccaldi
Basse Élise Blanchard
Claviers, électronique Laetitia N'Diaye
Batterie Cyril Atef
Son Mathieu Pion
Lumière et régie générale Rachel Simonin
Production Brouhaha, Full Rhizome. Coproduction : Maison de la musique de Nanterre, Africolor, Festival jazz sous les pommiers
Partenaires Alliance Française d’Addis-Abeba, Théâtre des 4 saisons – Gradignan. Aides spectacle ONDA, DRAC Ile-de-France, Adami, Spedidam, CNV. Théo Ceccaldi est artiste associé au Théâtre municipal de Coutances et au festival Jazz sous les pommiers
Théo Ceccaldi est artiste associé à la Maison de la musique de Nanterre
Girma Bèyènè & Akalé Wubé
Pianiste, percussionniste, compositeur et arrangeur plus prolifique encore que le légendaire Mulatu Astatqé, Girma Bèyènè est aussi plus pop, plus électrique et plus funky. Il a mené l’aventure du Swinging Addis des Sixties avec son complice le chanteur Alèmayèhu Eshèté – lui-même invité de la Maison de la musique en 2010.
À Addis, gros succès populaire, jusqu’à ce que le coup d’État de 1974 impose une révolution qui n’aime plus la musique. Après l’exil rocambolesque aux États-Unis, après le deuil de Tseguiyé, sa « reine » et vingt ans de silence, Girma Bèyènè remontait sur scène. Chez nous, il réinvente le groove avec Akalé Wubé, groupe de jeunes musiciens français biberonnés aux Éthiopiques, la fameuse collection discographique dont le 30e volume lui est consacré.
Chant Girma Bèyènè
Saxophones Olivier Zanot
Trompette, percussion Paul Bouclier
Guitare Loïc Réchard
Basse électrique Oliver Degabriele
Batterie David Goergelet
Son Pierre Dachery
Dans le cadre du festival Africolor
Samedi 13 novembre à 20h30
De 5 à 25 €
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